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bienvenue sur mon blog blog a propos hayastan et le génocide arménien publié 14 mars 2007 dans non classã© 0 commentaires le 8 juin 2006 : départ pour l’arménie ” il n’y a pas de plus grande satisfaction que d’arriver seule et avec force, passion, courage, volonté dans un pays… et surtout de respecter la vitesse du papillon : savoir être patient, regarder autour de soi, sentir, écouter et comprendre les pays que l’on traverse. savoir pleurer aussi; de joie, de peur, de rage parfois… savoir aimer et savoir vivre l’instant, car quand on voyage à vélo, le temps est une continuité de petits instants ! il n’y a jamais de demain ! tout est à choisir… sur le fil du destin, j’arrive à tracer mon chemin; il m’éclaire et je sais maintenant que je rayonne.” miracle et arménie serait un euphémisme ! petite goutte d’or enclavée et ayant su résister à de nombreux assauts, elle a le mérite d’être, d’exister et de prospérer. après de nombreux kilomètres à travers l’allemagne, le république tchèque, la pologne, l’ukraine, la traversée de la mer noire, la georgie… me voilà ! arrivée à deux heures du matin à la gare de yerevan ! premières sensations: les odeurs du marché, la chaleur et surtout l’accueil des arméniens qui ont su me conseiller tout au long du mon parcours. je n’ai pas réaliser ce voyage dans un but personnel et suffisant, j’ai voulu comprendre mieux ce pays aux souffrances encore présentes: le génocide arménien… en 1915 et 1916, durant la première guerre mondiale, entre 1 200 000 et 1 500 000 arméniens ont été tués sur place ou sont morts au cours de leur déportation, soit deux tiers de la population arménienne vivant dans l’empire ottoman. le gouvernement turc est responsable de ce crime collectif, aboutissement d’un plan concerté. aujourd’hui, la plus part des arméniens ne gardent pas de rancoeur, juste une profonde tristesse, et surtout ils souhaitent la reconnaissance par les turcs du génocide ! lors d’une interview avec armine babayan, ses paroles m’ont émues : ” nous ne voulons pas pleurer pour le génocide, nous voulons juste sa reconnaissance ! si les turcs sont des gens honnêtes, qu’ils reconnaissent enfin ce qui c’est passé: les déportations, les destructions des villes ( telle celle de van ), les exterminations, les viols de nos femmes… nous leur demandons sans rancoeur mais juste parce-que nos grands-parents veulent retourner sur leur terre pour y mourir ! “ hayastan et le génocide arménien publié 14 mars 2007 dans non classã© 0 commentaires le 8 juin 2006 : départ pour l’arménie ” il n’y a pas de plus grande satisfaction que d’arriver seule et avec force, passion, courage, volonté dans un pays… et surtout de respecter la vitesse du papillon : savoir être patient, regarder autour de soi, sentir, écouter et comprendre les pays que l’on traverse. savoir pleurer aussi; de joie, de peur, de rage parfois… savoir aimer et savoir vivre l’instant, car quand on voyage à vélo, le temps est une continuité de petits instants ! il n’y a jamais de demain ! tout est à choisir… sur le fil du destin, j’arrive à tracer mon chemin; il m’éclaire et je sais maintenant que je rayonne.” miracle et arménie serait un euphémisme ! petite goutte d’or enclavée et ayant su résister à de nombreux assauts, elle a le mérite d’être, d’exister et de prospérer. après de nombreux kilomètres à travers l’allemagne, le république tchèque, la pologne, l’ukraine, la traversée de la mer noire, la georgie… me voilà ! arrivée à deux heures du matin à la gare de yerevan ! premières sensations: les odeurs du marché, la chaleur et surtout l’accueil des arméniens qui ont su me conseiller tout au long du mon parcours. je n’ai pas réaliser ce voyage dans un but personnel et suffisant, j’ai voulu comprendre mieux ce pays aux souffrances encore présentes: le génocide arménien… en 1915 et 1916, durant la première guerre mondiale, entre 1 200 000 et 1 500 000 arméniens ont été tués sur place ou sont morts au cours de leur déportation, soit deux tiers de la population arménienne vivant dans l’empire ottoman. le gouvernement turc est responsable de ce crime collectif, aboutissement d’un plan concerté. aujourd’hui, la plus part des arméniens ne gardent pas de rancoeur, juste une profonde tristesse, et surtout ils souhaitent la reconnaissance par les turcs du génocide ! lors d’une interview avec armine babayan, ses paroles m’ont émues : ” nous ne voulons pas pleurer pour le génocide, nous voulons juste sa reconnaissance ! si les turcs sont des gens honnêtes, qu’ils reconnaissent enfin ce qui c’est passé: les déportations, les destructions des villes ( telle celle de van ), les exterminations, les viols de nos femmes… nous leur demandons sans rancoeur mais juste parce-que nos grands-parents veulent retourner sur leur terre pour y mourir ! “ program files\total video converter\converted\ poésies publié 13 mars 2007 dans poésies 0 commentaires je suis le charles baudelaire du bitume « mon enfant, ma sœur songe à la douceur… » a mon frère damné, à mes frères de galère, je crache et je pleure ce monde violé. « d’aller là-bas vivre ensemble… » unité moqueuse, tu trembles, tu t’enrages de vie. tu exploses ! sang commun, vide annoncé. je suis d’une luxure surfaite, pour complaire à la moindre de tes avances. « ordre…beauté… » déchetterie à l’horizontale, sur ton code postal le coeff de ta natalité ! « luxe, calme… » prière à l’arrache, etranglée, suicidée. la religion devient seule loi de ce que la justice ne témoigne pas ! ils crèvent de faim, ils crèvent sous tes yeux fixés devant la télé ou prisonniers d’un mac do ! « volupté… » miel à l’étoile de tunis cannabis et savon du hammam, l’écorce noire de ta peau enfante la joie et la douleur… courre maintenant, vas cracher tes rêves, vas chercher ta foi… je suis le charles baudelaire dans sa zone dévastée, je ris et souris sous l’œil moqueur de l’éternelle lune. paris novembre 2005 le cercle ma main sur le sable, nos pieds dans l’eau, ta tête ailleurs…. ailleurs. tu es parti, long voyage silencieux au regard des étoiles. tu es béni d’opium, ange du lointain, ange solitaire… ma vie se retrace et se perd. le goût des souvenirs vient à moi, ephémères bonheurs, journées enflammées ; ton corps en moi s’est transformé : l’enfant qui a tes yeux et mon sourire me rappelle chaque instant combien tu es absent… le vide, l’oubli, la peur même d’oublier la chaleur d’une simple épaule ! mais où est le feu ? parti, lui aussi avec l’ange du lointain. les visages et les corps passent, les rencontres d’un soir, d’un an. mais où est mon feu ? parti…parti avec l’ange solitaire. l’enfant qui a ta force et ma douceur m’émerveille de notre accord parfait. symbiose des sens, alchimie divine, mon lait de vie s’est tari. il est parti…parti l’ange commun. a jamais l’enfant que je réveille chaque matin me rappelle à mon ange dévoré… a l’homme que j’aime à travers la mort… a l’homme à qui j’apporte tous les jours ses fleurs préférées. sur la route de la « nouvelle europe » publié 12 mars 2007 dans non classã© 2 commentaires le 27/04/2003 premier grand voyage en solitaire vers les pays baltes recherche derniers articles hayastan et le génocide arménien hayastan et le génocide arménien poésies sur la route de la « nouvelle europe » liens un blog, des blogs parventure | merzouga bivouac | volando... il y en a qui on... | unblog.fr | créer un blog | annuaire | signaler un abus | lisbonne méhari tours | caillou d'ailleurs | bora bora 2007